Dans le Sud-Ouest de la France, à une heure de Bordeaux, se situe un parc de loisirs pas comme les autres, en pleine forêt : labyrinthes, enquêtes et réalité augmentée sont au programme.
Se perdre dans un labyrinthe
Le parc Mysterra s’est lancé le défi de réinventer le labyrinthe : réels et virtuels à la fois, utilisant les technologiques de réalité augmentée, les 11 parcours sont empreints de mystère. Loin des labyrinthes traditionnels formés de murs de buissons, ceux de Mysterra utilisent la forêt sans la dénaturer : des parcours naturels ont été travaillés par un paysagiste pour devenir ludiques. Chacun des 11 labyrinthes propose une expérience différente, orientée sur la découverte de la biodiversité, le jeu, le sport, ou encore l’art.
Découvrir de l’art… en pleine nature
L’un des parcours, intitulé Mysterr’art, est dédié à l’art et à des artistes contemporains qui créent des œuvres spécifiquement pour Mysterra. En déambulant sur ce parcours, on découvre des œuvres d’un nouveau genre, faites avec des matériaux empruntés à la nature : une sculpture en bois, pourquoi pas ? Avec un smartphone ou une tablette, les visiteurs qui le souhaitent accèderont à toutes les informations sur l’œuvre.
S’immerger dans l’ambiance d’une forêt
Le parcours Mysterressens plonge le visiteur dans une passionnante découverte de la faune et de la flore locale. Le long de ce labyrinthe, on prend le temps de découvrir les riches essences du territoire, de toucher et de sentir la nature : inoubliable ! L’appli permettra d’apprendre beaucoup de choses sur la biodiversité présente.
Faire une chasse au trésor
Sur l’ensemble des 11 hectares du parc sont dissimulées des pierres runiques, ces pierres dressées gravées d’inscriptions. En trouvant ces pierres et en les photographiant, les visiteurs cumulent des points et des indices qui pourront les mener jusqu’au trésor ! D’après les scénaristes du parc, il est introuvable… Prêt à relever le défi ?
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Par Caroline Revol-Maurel
Journaliste passionnée de nature sauvage, de voyage et de rock, j'écris aussi bien sur les gypaètes barbus que sur Lou Reed. Souvent accompagnée de deux petites filles au sens critique bien aiguisé.
