S’il y a un festival qui réunit la jeunesse branchée française, c’est bien Calvi on the Rocks. Rendez-vous sur la plage de Calvi, en Corse en début d'été, du 4 au 7 juillet 2024, pour le plus grand club à ciel ouvert de France ! Préparez-vous.
Un festival au cadre idyllique
Imaginez : un soleil radieux, un ciel sans nuage, une mer turquoise, un décor de carte postale avec la citadelle de Calvi en fond, des milliers de jeunes festivaliers branchés en maillot de bain, les pieds dans l’eau… Voilà l’ambiance de Calvi on the Rocks, qui s’est forgé depuis 2003 une place incontournable dans les festivals français. Tout en restant convivial et intime.
Le meilleur de l’électro sur la côte corse
Résolument électro, la programmation se divise entre concerts et sets gratuits la journée, dont certains sont accessibles en bateau, puis payants le soir à partir de 21h. Dès 23h, tout se déroule dans le Théâtre de Verdure, qui se transforme en club jusqu’à 4 heures du matin. Avec comme invités, les artistes les plus prometteurs de la scène électronique actuelle et des artistes numériques. Un concept qui vise aussi un joli métissage festif entre tradition et modernité. À découvrir sur la plage, mais aussi à l’occasion d’un parcours artistique à travers la ville et la citadelle de Calvi.
Recommandations et conseils
Calvi en ligne de mire pour le début de l’été ? Une expérience festive dont vous devriez vous souvenir longtemps, entre siestes, performances artistiques, apéros corses et concerts vitaminés. Enclin à profiter pleinement de cette manifestation, mais de manière éco-friendly ? Pour ce faire, privilégiez une traversée par ferry sans voiture et les solutions de mobilités plus propres une fois à terre (transports en commun, voiture électrique…). Pour vous héberger, privilégiez les logements bénéficiant d’un écolabel. Enfin, craquez pour les produits locaux et de saison si savoureux sur l’île de Beauté. Excellent Calvi on the rocks à vous !
Par Caroline Revol-Maurel
Journaliste passionnée de nature sauvage, de voyage et de rock, j'écris aussi bien sur les gypaètes barbus que sur Lou Reed. Souvent accompagnée de deux petites filles au sens critique bien aiguisé.